Rédacteur

  • Rédacteur Bernard ARNAULT
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17 juin 2021

Dossier n°1 : Le chemin rural du Panteneau au canton de Saint-Martin sur Visorando

Faute aux collectivités de ne pas avoir encore promu ce chemin remarquable du patrimoine naturel des Borderies, le chemin rural du Panteneau au Canton de Saint-Martin est depuis 2 mois affiché sur Visorando au travers de 3 itinéraires proposés aux promeneurs et randonneurs locaux ou moins proches.

Son statut foncier comme celle de son accès ouest (par le chemin rural de la Gîte à Montlambert) ne souffrant pas (ou plus) de contestation, son appellation "CAMUS" a été abandonnée dans le titre de cet article, pour témoigner s'il le faudrait encore qu'il s'agit d'un bien commun à tous.

En cliquant sur le dénomination de chacun des 3 itinéraires, vous accéderez à leur descriptif ainsi qu'à la possibilité de disposer sur votre smartphone d'un balisage virtuel provisoirement utile pour conforter votre localisation dans l'attente de voir disparaître les obstructions faites au droit d'usage du public.

Une boucle  de promenade de 4 km ouverte à tous et plus spécialement aux habitants de Louzac-Saint-André.

Un parcours de 14,69 km intégralement tracé sur la commune de Louzac-Saint-André qui ne dispose toujours pas de son itinéraire propre.

Un  itinéraire "sud" de 7.3 km réparti sur les communes de Louzac-Saint-André et de Saint-Laurent-de-Cognac.

A la fin de l'été un quatrième itinéraire tracé lui plus spécifiquement sur le secteur de Saint-André viendra compléter l'offre

Dossier n°1 : Chemin Camus (sic) - On en parle dans la Charente Libre

Dans son édition du 15 juin dernier, le sujet fait l'objet de la une de la page Grand-Cognac (page16 de l'édition papier). pour accéder à l'article cliquez ici.

30 mai 2021

Dossier n°1 : Chemin Camus (sic) - Obstructions faites aux promeneneurs et randonneurs dans l'exercice de leurs droits d'usage

Par LRAR du 10 avril dernier, les Maires de Louzac-Saint-André et de Saint-Laurent-de-Cognac ont été rappelés à leurs obligations en matière d’exécution de leurs pouvoirs de police afin qu’ils fassent procéder au rétablissement de l’emprise du chemin rural de la Gîte à Montlambert matérialisant la limite interdépartementale à l’extrémité nord-ouest du chemin rural du Panteneau au canton de Saint-Martin.

Le rétablissement de ce chemin détruit par le riverain dans sa partie limitrophe avec la commune de Chérac, permettra ainsi de mettre en évidence le point d’origine des 743 m du chemin rural du Panteneau au Canton de Saint-Martin qui assure une continuité d’itinéraire entre le hameau de Montlambert et la D144.

Récurrente depuis plusieurs années, cette nouvelle notification suit celle formulée le 30 juillet 2020 qui contestait par ailleurs le bien fondé l'enquête publique venant alors de se dérouler.

04 mai 2021

Dossier n°1 : Chemin Camus (sic) - Le Maire de Louzac-Saint-André annonce le retrait de la décision de désaffection et d'aliénation d'emprises de chemins ruraux

 Annonce notifiée fin mars par courrier selon les termes suivants (et sans autre commentaire):

" Suite à votre recours gracieux du 03 février 2021, le conseil municipal par décision du 29 mars 2021 a retiré la délibération  2020-89 du 8 décembre 2020 "

08 avril 2021

Dossier n°1: Chemin "Camus" (sic) - Le conseil municipal de Saint-Laurent-de-Cognac abroge sa décision de désaffectation et d'aliénation au motif d'une procédure illégale

En janvier 2020, sur proposition de Monsieur Jean-Paul CAMUS, la commune de Saint-Laurent-de-Cognac décidait à l’unanimité de ses 15 conseillers d’engager une procédure d’enquête publique préalable à la désaffectation et à l’aliénation d’un chemin rural qu’elle dénommait comme le  chemin du Panteneau au Canton de Saint-Martin et représentait par le document ci-après (qualifié de «carte  établie par un géomètre » selon les écrits du Maire de Louzac-Saint-André).

 
Dès le 3 juillet 2020, au premier jour d’une enquête qui ne sera pas précédée des mesures de publicité obligatoires, les Maires de Saint-Laurent-de-Cognac et de Louzac-Saint-André étaient alertés, qu’entre autres « déviances », ils commettaient une erreur manifeste dans la caractérisation foncière du bien qu’ils avaient pour projet de céder, sans que ne soient réellement communiquées les conditions financières d’une tractation instruite en 2018 avec Monsieur Jean-Paul CAMUS.  Ils étaient incités par écrit (et oralement pour Mr Lilian JOUSSON) à reconsidérer leur dossier et bien mesurer les conséquences d’un engagement très éloigné de l’intérêt collectif.
 
Le commissaire-enquêteur et les services de l’Etat en étaient informés dans le même temps, à charge pour le premier de faire usage des possibilités offertes par sa mission (visite sur le terrain, réunion contradictoire) pour éviter « l’embourbement » d’un dossier fort mal engagé.

 Cette initiative ne sera suivie d’aucun résultat, et personne ne paraîtra s’en inquiéter vraiment alors que tout le monde a eu communication d’éléments précis et ce bien avant que n’arrive le moment d’avoir à statuer.

La commune de Saint-Laurent-de-Cognac suivra donc le 15 octobre 2020 Louzac-Saint-André pour se prononcer en faveur d’une décision recherchée déjà une première fois il y a environ 15 ans, et connue de ceux un peu rompus aux pratiques locales et ayant une bonne connaissance de leur commune.

Par un recours gracieux déposé en décembre 2020, et entre autres motifs ouvrant matière à possible contentieux devant la juridiction administrative, plusieurs requérants feront valoir que la procédure a été entachée d’illégalité pour excès de pouvoir, en raison d’une réalité foncière toute autre  que celle présentée. Cette réalité correspond plutôt à celle-ci-dessous :

 
Finalement, il s’avérait que demandeur et communes avaient convenu d’organiser pour une contrepartie dérisoire le transfert d’un bien composé de :

- 680 m des 743 m de l’emprise du chemin rural du Panteneau au canton de Saint-Martin matérialisant une des limites intercommunales entre Louzac-Saint-André et Saint-Laurent-de Cognac,

- et de 100 à 110 m de l’emprise du chemin rural de la Gîte à Montlambert, limite interdépartementale avec la commune de Chérac en Charente-Maritime

En conséquence, les communes ne pouvaient diligenter une procédure pour laquelle seuls sont compétents les services de l’Etat.

L’absence de réponse de la commune de Saint-Laurent-de-Cognac au terme des 2 mois suivant sa réception du recours gracieux a valu rejet et ouvert jusqu’au 10 avril la possibilité d’un dépôt d’une requête introductive d’instance devant le tribunal administratif.

A quelques jours du contentieux à intervenir, c’est en référence à ce motif, et donc prés de 9 mois après un signalement sans équivoque, que la commune de Saint-Laurent-de-Cognac s’est enfin résolue à abroger le 25 mars 2021 sa décision du 15 octobre 2020.

19 novembre 2020

Une captation de chemin rural préparée de longue date dans la Vallée de la Croix (Dossier n°1)

 
 Localisation du chemin rural du Panteneau au Canton de Saint-Martin  matérialisant environ 750m de la limite intercommunale entre Louzac-Saint-André et Saint-Laurent-de-Cognac
en haut représentatation issue du site geofoncier.fr (géomètres-experts)
en bas représentation selon Système d'Information Géographique du Département